MON AMOUR, MON AMI
Chaque jour, dans les allées du parc, au loin je vous aperçois,
Les jours où je ne vous vois, laissent mon coeur en désarroi.
La fin du temps approche, votre coeur ne m'est plus acquis,
Entre deux femmes à aimer, votre épouse fut choisie.
Il ne me reste qu'à m'incliner devant votre décision,
Jamais je ne pourrai oublier notre brève liaison.
Mon réveil à l'amour sous vos gestes si tendres,
Fut un enchantement que j'avais cru oublier.
J'aurai tellement aimé à mon oreille entendre,
Vous êtes ma sirène, vous êtes ma bien-aimée.
Vous savoir heureux est mon souhait le plus cher,
Vous appeler mon Amour m'est devenu amer,
Aussi à ce jour, ce mot sur mes lèvres m'est interdit,
Je dois vous l'avouer, je commençais à vous aimer.
Puissiez-vous un jour ce poème me pardonner,
Alors, à l'avenir, je vous appellerai mon Ami
Geneviève Novembre 2012